Comment les « dys » font avancer l’école !

Comment les « dys » font avancer l’école !

La solution la plus souvent proposée pour répondre aux troubles de l’apprentissage (dyslexie, dysgraphie, dyscalculie etc.) est la fourniture de photocopies écrites avec une certaine taille de caractères et une police adaptée. Si ces copies sont effectuées à temps, ce qui n’est pas le cas à l’usage, étant donné que l’enseignant doit intégrer l’exception dans sa pratique routinière, cela n’enlève pas la charge d’écriture qui incombe à l’élève lorsqu’il doit rendre des exercices.

Dans d’autres cas, on donne à l’enfant un ordinateur portable, lourd, encombrant qui ne tient pas la charge, avec une panoplie de logiciels dans l’environnement Microsoft Windows. Il en résulte un alourdissement de l’environnement de l’enfant : comment retrouver les notes qu’il a prises en cours d’Histoire-Géographie, par exemple, dans quel dossier ? avec quel logiciel ? quelle version ? Sans compter le temps de lancement de l’ordinateur en début de cours avant d’être enfin opérationnel. Bref cette solution s’avère à l’usage assez catastrophique.

Pourquoi ne pas utiliser, ce que l’enfant a dans son environnement habituel, le matériel qu’il maîtrise et qu’il affectionne : un iPad ?

L’appareil est léger, tient la charge sur la journée, est instantanément opérationnel.

Pourquoi un iPad et pas une tablette d’une autre marque ?

A ce jour, ce matériel est de meilleure qualité que ceux des autres marques, il est plébiscité par les enfants, le système d’exploitation est simple, stable et bien organisé : l’enfant ne se pose pas la question : où se trouve mes notes prises en Histoire-Géographie, par exemple.

L’interface de l’iPad est la plus aboutie pour le travail scolaire : consultation de manuels scolaires, création de livre, création de tableaux, rédaction d’articles, retouche de photos, montage de vidéos, composition de musiques

Avant de voir différents cas d’utilisation, répondons aux deux objections les plus fréquentes lorsqu’on incite à l’achat d’un appareil de la marque Apple :

– C’est du matériel pour les riches ! Une étude comparative sur un usage de 4 ans montre à l’évidence que ce matériel est plus économique que les autres (peu de maintenance, peu de réparation, la batterie tient la charge, le logiciel est encore utilisable, l’appareil est toujours réactif, la revente est possible à un prix élevé par rapport aux autres marques). Un iPad coûte moins de 100 € par an, si l’on retranche le prix de revente, et ce, qu’il soit acheté neuf ou d’occasion. On trouve de nombreux iPads d’occasion à des prix très abordables (www.priceminister.comwww.ebay.fr). Ne pas acheter d’iPad en dessous du modèle 2.

–  C’est un environnement fermé ! C’est une force du système d’exploitation et non une faiblesse. En particulier pour un « dys ». L’installation d’application est nativement limitée ce qui évite d’inonder l’environnement de travail de l’enfant. Les suppressions par inadvertance sont difficiles, la sauvegarde de l’ensemble des informations sur iCloud permet de poursuivre son travail sur un autre iPad, si le premier est vendu, perdu ou volé. Il est possible aussi de retrouver toutes ses informations depuis un PC sur www.icloud.com. Enfin, un parent peut facilement verrouiller la plupart des fonctions de l’appareil.

Voyons maintenant les différents cas d’utilisation. Nous en examinerons deux :

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